CH378297A - Procédé d'oxydation en phase vapeur - Google Patents

Procédé d'oxydation en phase vapeur

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CH378297A
CH378297A CH6640158A CH6640158A CH378297A CH 378297 A CH378297 A CH 378297A CH 6640158 A CH6640158 A CH 6640158A CH 6640158 A CH6640158 A CH 6640158A CH 378297 A CH378297 A CH 378297A
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oxidation
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CH6640158A
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Edward Callow Alan
Hughes William
Dennis Groves James
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British Titan Products
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Description


  Procédé     d'oxydation    en phase     vapeur       La présente invention a pour objet un procédé  d'oxydation en phase vapeur du tétrachlorure de  titane et d'autres halogénures qui réagissent avec  l'oxygène de façon fortement exothermique. On sait  que lorsque le     tétrachlorure    de titane réagit avec  l'oxygène, il se dégage une chaleur de réaction qui  suffirait, si elle était convenablement     utilisée,    à main  tenir la réaction à une température appropriée, met  tons de 800 à 1200 C, les gaz produits sortant de  la chambre de réaction à cette température.  



  On a décrit de nombreux procédés de prépara  tion de l'oxyde de titane à partir du tétrachlorure de  titane par oxydation au moyen d'oxygène ou de gaz  oxygéné. Ces procédés comprennent     l'admission    de  tétrachlorure de titane et d'oxygène dans une cham  bre vide, par des brûleurs de conceptions variées. Il  a cependant toujours été nécessaire de fournir un  chauffage     auxiliaire,    ce qui a été ordinairement réa  lisé par préchauffage des gaz ou par     apport    de cha  leur à travers la paroi de la chambre, ou encore par  combustion de combustible à l'intérieur de la cham  bre.

   Ce     chauffage        auxiliaire    n'était pas destiné à       maintenir    la température de réaction, mais simple  ment à provoquer l'allumage des réactifs par l'éléva  tion de leurs températures. La chaleur en excès dé  veloppée par la réaction n'était pas     utilisée    pour le  préchauffage des gaz. En     conséquence,    le chauffage       auxiliaire    s'ajoutait à la chaleur de réaction, condui  sant à une     perte    de chaleur et à une température de  réaction inutilement et     nuisiblement    élevée.  



  Cependant,     dans    un procédé récent, l'oxydation  en phase vapeur du tétrachlorure de titane a été con  duite dans un lit de matière     inerte.    Dans ce procédé,  la matière du lit, initialement préchauffée, sert à       chauffer    les réactifs jusqu'à la température de réac  tion, après quoi la chaleur de réaction libérée est    transmise à la matière du lit. Ainsi, en     raison    des  turbulences existant dans une opération en lit fluide,  la chaleur de réaction peut être     utilisée    pour pré  chauffer les réactifs, grâce à la matière     inerte    solide  constituant le lit.

   Ce procédé présente     certains    incon  vénients, notamment une tendance de l'oxyde métal  lique produit par la réaction à précipiter sur la ma  tière solide inerte du lit, et à y adhérer. On voit donc  qu'un moyen de transmission de la chaleur de réac  tion aux réactifs sans     utilisation    de surface     solide     faisait défaut.  



  Dans le procédé mentionné, selon lequel des gaz  réactifs froids sont admis dans une chambre vide  préchauffée, les     gaz    froids, entrant par exemple     par     un brûleur placé à une extrémité de la     chambre,    ten  dent à refroidir la chambre dans cet emplacement et  doivent donc progresser dans la chambre jusqu'à ce  qu'ils atteignent la température de réaction.

   La cha  leur qui se dégage est à son tour utilisée pour pré  chauffer de nouvelles quantités de gaz froids pro  gressant dans la chambre, mais la zone chaude tend  à se déplacer encore plus loin du point d'admission  des gaz, jusqu'à ce que cette zone atteigne l'extrémité  éloignée de la chambre auquel moment, en     raison     du manque d'apport     continu    de chaleur     auxiliaire,    la  chambre prise dans son ensemble devient trop froide  pour que la réaction puisse s'y     produire    où que ce  soit.  



  La présente invention a pour objet un procédé  d'oxydation dans lequel on fait réagir avec de l'oxy  gène ou avec un gaz     contenant    de l'oxygène, une va  peur d'un composé     consistant    en un chlorure, bro  mure ou iodure d'un métal ou d'un métalloïde, le  quel composé réagit     exothermiquement    avec un tel  gaz, dans une chambre vide, lesdits réactifs étant  admis dans la chambre en courants adjacents ou      étant mélangés ensemble préalablement à leur ad  mission, de façon que dans l'un ou l'autre cas les  réactifs entrent en direction générale commune.

   Ce  procédé est caractérisé en ce que l'on admet au  moins l'un des réactifs à une vitesse telle que son  nombre de Reynolds soit d'au moins 50 000 au point  d'injection, afin qu'il     réentraîne    dans le courant suf  fisamment de l'atmosphère ambiante, consistant en  produits de réaction retournant à l'opposé de ladite       direction    générale, pour que la chaleur     ainsi    emprun  tée préchauffe les gaz entrants jusqu'à la tempéra  ture de réaction, entretenant ainsi la réaction sans       apport    de chaleur auxiliaire.  



  On a constaté que si l'on admet séparément ou  en mélange l'halogénure et le gaz oxydant dans une  chambre de réaction vide préchauffée de dimension  suffisante et dans des conditions de turbulence, le  courant gazeux se détend apparemment sous forme  d'un cône ou     forme    divergente analogue. Cette action  a pour effet de provoquer un changement de direc  tion du courant des gaz, de sorte qu'une     partie    subs  tantielle de ceux-ci retourne en     arrière    vers le point  d'entrée.

   On     décrit    plus loin cet effet comme étant  de la nature d'une     recirculation    ou recyclage,     mais    on  n'entend pas se     limiter    par cette interprétation parti  culière de l'effet en question.  



  L'effet est particulièrement prononcé grâce au  fait qu'un ou les deux réactifs sous     forme    gazeuse,  est ou sont introduits dans la chambre de réaction à  travers un orifice ou tuyère qui produit une grande  vitesse et une turbulence, car les réactifs tendent  alors à entraîner le gaz environnant très rapidement.  Le mélange avec ce gaz environnant consistant prin  cipalement en produits de réaction chauds, sert à  élever très rapidement la     températuure    des gaz en  trants, jusqu'au     point    d'amorçage de la réaction.

    En conséquence, on obtient un volume de pro  duits gazeux relativement important (et éventuel  lement de produits     solides    entraînés) qui, après  avoir quitté la zone principale des réactions, est       partiellement    recyclé de     manière    continue de façon  à se mélanger aux     réactifs    entrants. Pour être effi  cace, ce volume de gaz recyclé chaud doit être suf  fisant pour chauffer les réactifs froids jusqu'à une  température à laquelle     ils    réagissent.

   Dans le cas du  tétrachlorure de titane et de l'oxygène, il s'est montré  suffisant, pour que la réaction s'effectue, de recycler       cinq    parties en poids du mélange des produits de  réaction pour une partie en poids des réactifs froids  introduits dans la chambre. Bien que pour     certaines     réactions, la     recirculation    désirée pourrait être effec  tuée par des moyens mécaniques tels qu'un ventila  teur, cela serait     irréalisable    dans des réactions comme  celles considérées ici, dont au moins l'un des pro  duits chauds, par exemple le chlore, est particulière  ment corrosif.

   Par le procédé selon la présente inven  tion on évite un recours à des expédients mécaniques  grâce à l'énergie cinétique élevée     impartie    aux réac  tifs admis qui donne naissance à la     recirculation    vou-    lue, et à l'association d'une partie substantielle des  gaz de la réaction avec les réactifs.  



  Pour effectuer cette     recirculation,    on amène l'un,  ou les deux gaz de réaction à un ajutage, tuyère ou  autre entrée de section transversale réduite, sous une  pression propre à l'obtention de la vitesse désirée. II  n'est normalement pas nécessaire que cette pression  soit supérieure à 0,56     kg/cm2.    Bien que des pressions  plus élevées soient utilisables, un gradient si élevé  est normalement non économique. Des pressions  inférieures peuvent également     suffire,    mais il est  essentiel que le nombre de Reynolds du gaz ou va  peur à l'entrée soit d'au moins 50 000, et de préfé  rence     supérieur    à 150 000.

   Comme il est bien connu,  le nombre de     Reynoids    est égal à 4     W/p ,    W étant le  débit d'écoulement du fluide à l'entrée en     ga/sec,    p  la longueur du périmètre interne de l'entrée en cm,  et u la viscosité du fluide en conditions amont (-/cm  par sec). On peut se référer à l'ouvrage       Chemical          Engineers'        Handbook      par     Perry,    3-     éd.,    p. 375, où  se trouve une définition du nombre de Reynolds.

      Il est également important que la chambre de  réaction     dans    laquelle les réactifs sont conduits à  grande vitesse soit suffisamment grande pour ne pas  entraver le courant de     recirculation    des produits  gazeux chauds.     Ainsi,    par exemple, lorsqu'un orifice  circulaire est disposé au centre d'une chambre  de réaction cylindrique, le diamètre ou largeur  moyenne de ladite chambre ne devrait pas être infé  rieur à 20 fois, et de préférence être d'au moins 30  fois le diamètre de     l'orifice    ou des     orifices    d'entrée  du gaz, débitant le gaz à grande vitesse.

   Lorsque  l'entrée est un orifice circulaire disposé     centralement     dans une chambre cylindrique, le diamètre de la  chambre en cm ne doit normalement pas être supé  rieur à 0,357     fois    la racine carrée de w, w étant le  débit du     gaz    à travers l'orifice en     g/h.    II est clair que  la     recirculation    désirée peut être activée en faisant  sortir le courant de produit final de la chambre dans  le voisinage du point d'introduction des réactifs, pro  voquant ainsi dans la chambre un courant inversé  naturel.  



  De nombreux chlorures, bromures ou iodures  d'éléments tels que le silicium, par exemple ceux de  titane, d'aluminium, de niobium, de fer, de chrome,  de zirconium, de vanadium, d'étain, et d'uranium, ou  mélanges de ceux-ci, peuvent être oxydés par mise  en     oeuvre    du procédé selon l'invention. Normale  ment, cependant, le chlorure est l'halogénure préféré,  car il est plus économique et plus facilement dispo  nible.  



  Comme mentionné, il est essentiel de choisir un  halogénure qui, par     recirculation    dans les conditions  générales décrites dans le présent exposé, soit sus  ceptible de réagir sans dépendre d'un     chauffage    auxi  liaire autre que celui mentionné ci-dessous pour le  cas où de la chaleur est nécessaire pour vaporiser       l'hologénure    ou pour préchauffer initialement la  chambre du four.      Normalement, on fait réagir les divers     halogé-          nures    avec l'oxygène, car la perte de chaleur est     ainsi     réduite au minimum grâce à l'absence de gaz diluant.

    En outre, les produits d'oxydation sont plus riches  en halogène et par conséquent récupérables de façon  plus économique. L'emploi de gaz oxygéné, tel que  l'air, n'est cependant pas exclu, pour autant que la  chaleur de réaction soit suffisante pour le maintien  des conditions de réaction essentielles à     l'invention.     



  Les réactifs peuvent être mélangés préalablement  à leur passage par     l'orifice    constrictif d'entrée de gaz  dans la chambre, ou ils peuvent être introduits sépa  rément. Dans ce dernier cas, on introduit un ou les  deux     gaz    à grande vitesse.  



  Les réactifs sont introduits sous forme de gaz  ou de vapeur, de     sorte    que lorsque l'un ou plusieurs  d'entre eux se trouvent dans la phase condensée  dans les conditions atmosphériques normales, il ou  ils doivent être vaporisés par préchauffage avant  d'entrer, et doivent être maintenus au-dessus du point  de saturation à l'entrée de la tuyère ou orifice servant  d'entrée de gaz dans la chambre de réaction. Un pré  chauffage supplémentaire n'est toutefois pas néces  saire.

   Il est clair que comme certains halogénures  peuvent ne pas être facilement volatilisés     aux    tem  pératures relativement basses, et que la présente in  vention s'applique en premier lieu aux halogénures       volatisables    à des températures modérément élevées,  de préférence inférieures .à     600     C, le préchauffage  a lieu dans la mesure voulue pour la volatilisation  mais pas, comme dans les procédés antérieurs, pour       apporter    de la chaleur en vue du maintien de la réac  tion dans une chambre vide.

   L'invention ne vise pas  le préchauffage à des températures très     supérieures     au point d'ébullition     normal    de     l'halogènure    consi  déré.  



  Au     départ    du procédé, les gaz doivent être allu  més. On pourrait envisager à cet effet un préchauf  fage de la chambre, mais cela pourrait pratiquement  nécessiter des températures excessives dans la cham  bre de réaction, et présenter occasionnellement d'au  tres difficultés. Il s'est révélé plus commode d'amor  cer le procédé au moyen d'une flamme auxiliaire  telle que celle produite par     combustion    d'un gaz  combustible, par exemple de gaz d'éclairage, dans  l'oxygène ou dans l'air. Par ce moyen, une fois la  circulation     établie,    c'est-à-dire en quelques secondes,  cette flamme auxiliaire peut être éteinte et le procédé  peut être rendu auto-entretenu et continu.

   Il est  bien entendu que si la réaction devait s'interrompre,  pour toute raison, le brûleur auxiliaire devrait être       utilisé    à nouveau pour réamorcer la réaction.  



  Il ressort de la description ci-dessus que la mise  en     aeuvre    du procédé selon l'invention     implique    l'em  ploi d'un appareil de dimensions appréciables, con  venant par exemple à la production d'au moins une  tonne de     TiO.    par jour. Il faut donc une chambre  de réaction construite normalement en briques résis  tant au chlore, doublées de briques isolantes conte  nues ordinairement dans une enveloppe d'acier. Une    telle installation résiste normalement à la chaleur et  permet d'éviter des pertes     inutiles    de chaleur dans  l'entourage, ainsi qu'il s'en produirait à une petite  échelle expérimentale.  



  Les conditions préférées, en     particulier    en ce qui  concerne la température, dans le cas de l'oxydation  de divers halogénures métalliques ou     halogénures    de  métalloïdes comme le     silicium,    peuvent varier forte  ment. Ainsi, dans le cas de l'oxydation en phase  vapeur du tétrachlorure de titane, le domaine     normal     de températures     dans    lequel l'oxydation peut être  effectuée est de 800 à 12000 C, et de préférence de  900 à 1100 C.  



  Dans la mise en     aeuvre    du procédé     appliqué    à  l'oxydation en phase vapeur du     tétrachlorure    de  titane, on a     constaté    que l'on peut agir sur la dimen  sion des particules d'oxyde de titane par des addi  tions appropriées de vapeur d'eau au mélange réac  tionnel. Lorsque les réactifs sont admis séparément,  on admet de préférence la vapeur d'eau en mélange  avec le     gaz    contenant l'oxygène.

   On a également  constaté que la dimension des     particules    peut être  modifiée par des additions de petites proportions de  tétrachlorure de silicium, de préférence     prémélangé     à l'état de vapeur avec la vapeur de tétrachlorure  de titane.  



  Les exemples ci-après, donnés en référence au  dessin annexé, illustrent l'invention.    <I>Exemple 1</I>    Le réacteur, représenté schématiquement à la       fig.    1 du dessin, consiste en une chambre cylindrique       verticale    1 de diamètre interne de 45,7 cm et de  hauteur de 3,35 m. Le revêtement interne 2 consiste  en briques de 28 cm d'épaisseur, hautement réfrac  taires et résistantes au chlore, qui sont elles-mêmes  entourées par des briques isolantes externes 3, de  <B>11,5</B> cm     d'épaisseur,    le tout étant     maintenu    dans une  enveloppe d'acier 4, pourvue d'ouvertures autour  desquelles sont soudées des collerettes 5 et 6 se ter  minant en brides 7 et 8, en regard du sommet et du  fond du réacteur, respectivement.

   L'ouverture du  sommet du cylindre est fermée par une plaque 9  pourvue d'une brique 9a isolant de la chaleur,     fixée     à la face inférieure et passant juste à l'intérieur de  la collerette en acier 5. A travers ce couvercle passe  le brûleur principal 10 par lequel les réactifs sont       admis,    le tétrachlorure de titane par un conduit 11  et l'oxygène par un conduit 12. Ce brûleur principal  pénètre jusqu'à une profondeur de 183 cm à l'inté  rieur et le long de l'axe de la chambre, soit jusqu'à  un point 13. A travers le couvercle passe également  un conduit réfractaire 14, par lequel les produits de  réaction sont évacués.

   Le fond de la chambre de  réaction est fermé par une plaque 15, sur laquelle  est posée une brique isolante 16 de 23 cm d'épais  seur qui passe juste dans la collerette 6. A travers  cette plaque 15 et brique 16,     axialement    par rapport  à la chambre, c'est-à-dire par l'ouverture 17, est in  troduit un petit activeur statique à gaz 18, par lequel      on amène dans la chambre du gaz d'éclairage en  provenance d'un conduit 19 et de l'air ou de l'oxy  gène en provenance du conduit 20. Le     brûleur    10  est représenté de façon plus détaillée à la     fig.    2.

   Il  consiste en un tube d'acier inoxydable 31, de 6,35 cm  de diamètre interne, avec une bride 32 pour le mon  tage au sommet du four, le tube se     terminant    à son  extrémité externe d'entrée par une bride 33 à la  quelle est fixée l'entrée à tétrachlorure de titane 34.  Une entrée 35 pour l'admission du courant d'oxy  gène ou de gaz oxydant se trouve à cette extrémité  du brûleur. Le tube de brûleur se     termine    à l'autre  extrémité, c'est-à-dire au point d'entrée 36 des gaz  dans la chambre, par un     ajutage    à bord droit 37  (19 mm de diamètre), le tube du brûleur étant en  touré, entre la bride 32 et l'extrémité 36, d'un gar  nissage réfractaire 38 d'environ 2,5     cnm    d'épaisseur,  scellé avec un ciment au silicate.

    



  Après avoir     temporairement    enlevé le brûleur prin  cipal, on peut introduire un activeur à gaz mobile  dans la chambre de réaction. par le trou occupé nor  malement par le brûleur principal. Grâce à ce brûleur  mobile, la chambre de réaction est portée à une tem  pérature de 1100 C par admission de gaz d'éclai  rage et     d'air.    A ce moment, on allume le petit     acti-          veur    statique à gaz 18, on retire l'activeur mobile et  on le remplace par le brûleur principal décrit.  



  On fait alors entrer par l'entrée 34     (fig.    2) du  tétrachlorure de titane gazeux à une température de  1500 C et à un débit de 3,6     kg/min,    et on fait en  même temps entrer de l'oxygène par l'entrée 35, à  une température de     170,1    C et à un débit de 0,9  kg/min. Dès que du chlore peut être décelé dans le  conduit de     sortie    14     (fig.    1), on éteint le     brûleur     statique et on laisse la réaction se poursuivre pen  dant 90 min, durant lesquelles une température de  1050 à<B>11000C</B> est maintenue dans la chambre de  réaction. Les produits de réaction sont évacués par  le conduit 14.  



  Des échantillons prélevés durant l'essai montrent  que la     combustion    du     tétrachlorure    de titane est sen  siblement complète. Le produit     solide,    subséquem  ment séparé des gaz, contient 99 % de     TiO.    et ses  particules ont une dimension moyenne de 2-5 mi  crons.    <I>Exemple 2</I>    La chambre de réaction est semblable à celle  décrite dans l'exemple 1, mais le brûleur est tel que  représenté à la     fig.    3, afin de permettre l'introduction  des réactifs séparément dans la chambre de réaction,  à la manière d'un     brûleur    à tubes concentriques.

   Le  brûleur consiste en un tube d'acier inoxydable 41,  de 6,35 cm de diamètre, pénétrant sur<B>1,83</B> m dans  la chambre et se terminant dans la chambre en un  ajutage 42 de 2,22 cm de diamètre, et fermé à l'ex  térieur au moyen d'une plaque 43 fixée à la bride  44. Dans le côté de ce tube se trouve une entrée 45  pour     l'alimentation    en oxygène. Un     conduit    46 se  terminant en une bride 47 passe à travers la plaque    terminale 43. Ce conduit, en acier inoxydable, est  destiné à l'admission du tétrachlorure de titane.

   Il  pénètre jusqu'au point d'entrée des     gaz    dans la cham  bre de réaction, c'est-à-dire jusqu'au point 48, et a  un diamètre en ce point de 1,l1 cm, ce qui permet  l'entrée en ce point de tétrachlorure de titane dans  le courant concentrique d'oxygène. Ce brûleur pénè  tre dans le four sur une profondeur de 1,83 m, et  est fixé à la chambre au moyen de la bride 50.  Toute la surface     externe    du brûleur, c'est-à-dire entre  la bride 50 et l'extrémité 42, est pourvue d'un gar  nissage     réfractaire    51 de 2,5 cm d'épaisseur, scellé  avec un ciment au silicate.

      La chambre est     préchauffée    comme     dans    l'exem  ple 1, à     l'aide    d'un activeur à gaz mobile introduit  dans le trou dans lequel le brûleur principal est nor  malement monté. Une fois le petit activeur statique  à gaz allumé, on remplace le brûleur mobile à gaz  par le brûleur principal et on fait entrer du tétra  chlorure de titane à une température de     150     C et à  un débit de 0,56 kg/min.

   On fait entrer simultané  ment par le tube 45 de l'oxygène contenant 1,3 %  en poids de vapeur d'eau, à un débit de 0,9     kg/min.     Sitôt la réaction amorcée, on éteint le petit activeur  statique à gaz et on laisse la réaction se poursuivre  pendant 90 min, pendant lesquelles une température  de 1050-1100 C est maintenue par la réaction.  



  Des échantillons     dénqtent    que la réaction est  sensiblement complète, que l'oxyde de titane obtenu  contient 99 % de     TiO.,    et que ses     particules    ont une  dimension moyenne de 0,6     microns.       <I>Exemple 3</I>    La chambre de réaction 61 est construite comme  représenté à la     fig.    4. Sa différence par     rapport    à       l'appareil    utilisé dans les exemples précédents réside  principalement en ce que les réactifs sont     introduits     par le fond de la chambre et non plus par le som  met.

   Elle consiste dans l'ensemble en un récipient  cylindrique     vertical    de 3,35 m de hauteur, dont la  partie supérieure présente sur une longueur de  2,13 m un diamètre de 45,7 cm, la     partie    inférieure  se rétrécissant jusqu'à un diamètre de 30,5 cm à la  base. Le récipient est doublé de briques 62 haute  ment réfractaires résistant au chlore de 28 cm d'épais  seur, entourées d'un garnissage de briques isolantes  63, de 11,4 cm d'épaisseur, le tout étant contenu  dans une enveloppe d'acier 64.     L'ouverture    du som  met du four est fermée par une bride 65 sur laquelle  est montée une plaque 66     portant    sur sa face infé  rieure un joint en brique isolante 67 de 23 cm  d'épaisseur.

   Une lumière 68, axiale par     rapport    au  four, traverse ce     joint    67. Par cette lumière pénètre  un activeur statique à gaz 69 permettant l'introduc  tion de gaz d'éclairage en provenance d'un conduit  70 et d'oxygène en provenance d'un conduit 71,  pour l'allumage de la     flamme.    A la base du four se  trouve une pièce en T 72, doublée de béton réfrac  taire 73 de 15 cm d'épaisseur. Cette pièce en T per-      met l'évacuation des gaz par     l'ouverture    74. La base  de la pièce en T est fermée par une plaque 75 por  tant une brique isolante 76 qui passe juste dans la  collerette 77. Normalement, le brûleur principal 78  traverse la brique 76 et pénètre jusqu'à un point à  mi-distance dans le four.

   Il est alimenté en tétra  chlorure de titane par un conduit 80 et en oxygène  par un conduit 81, le brûleur étant fixé par des brides  82. Le brûleur principal 78 est construit comme dé  crit à l'exemple 2, c'est-à-dire qu'il consiste en un  brûleur concentrique tel que représenté à la     fig.    3.  



  Pour préchauffer la     chambre    de réaction, on  retire temporairement le brûleur     principal    78, on le  remplace par un activeur mobile     alimenté    en gaz et  air et on     préchauffe    la chambre de réaction jusqu'à  une température de     1100()    C au moyen de cet     acti-          veur    allumé. A ce moment, on allume l'activeur à       gaz    statique, on retire l'activeur mobile et on le rem  place par le brûleur à     recirculation.     



  On fait entrer du tétrachlorure de titane gazeux  contenant 4 % en poids de tétrachlorure de silicium,  à une température de 1500 C et à un débit de 3,6  kg/min, par le conduit 47     (fig.    3). Simultanément,  on admet de l'oxygène contenant 1,3 % en poids  d'humidité à un débit de 0,9 kg/min, par le conduit  45. Sitôt que du chlore est décelé dans les gaz sor  tants, on éteint le petit activeur statique à gaz 69       (fig.    4). La chaleur de réaction     maintient    la tempé  rature du four entre 1050 et     1100     C. On sépare et  examine l'oxyde de titane produit par la réaction.  



  On constate qu'en opérant de cette façon la con  version des chlorures en oxydes solides est prati  quement complète, la dimension de     particules    du  produit solide étant d'environ 0,4     tt.       <I>Exemple 4</I>    On utilise l'appareillage décrit à l'exemple 3  (c'est-à-dire le brûleur représenté à la     fig.    3 et la  chambre de réaction représentée à la     fig.    4) pour  effectuer l'oxydation du tétrachlorure de silicium de  la     manière    suivante  Après avoir préchauffé la chambre de réaction  comme décrit à l'exemple 3, et tout en maintenant  la flamme de gaz par l'entrée 69     (fig.    4), on admet  dans la chambre de réaction un courant de 2,

  11  kg/min de vapeur de tétrachlorure de silicium à une  température de     120,)    C, par le tube 46 (fia. 3) du  brûleur 78     (fig.    4) et, simultanément, on admet un  courant de 1,07 kg/min d'oxygène à 100  C par le  conduit 45     (fig.    3). L'oxygène contient une propor  tion de vapeur d'eau suffisante pour réagir avec 2 %  du tétrachlorure de silicium.  



  Après un laps de 3 min, on interrompt l'entrée  de gaz et d'air par les passages 70 et 71 et on laisse  la réaction du tétrachlorure de silicium avec l'oxy  gène se poursuivre dans la chambre du four, ce qui  y maintient une température de 1020 C. Plus de  99,5 % du tétrachlorure de silicium réagit     ainsi    en  formant un dioxyde de silicium pur de dimension  moyenne de particules d'environ 15     millimicrons.       <I>Exemple 5</I>  On     utilise    l'appareillage décrit à l'exemple 3  (c'est-à-dire le brûleur représenté à la     fig.    3 et la  chambre de réaction représentée à la     fig.    4)

   pour  effectuer l'oxydation de chlorure ferrique comme  suit  On préchauffe le réacteur     (fig.    4) jusqu'à une  température de 9000 C au moyen de gaz et     d'air    brû  lant par le     brûleur    69. Une fois cette température       atteinte,    on admet dans le réacteur un courant de  1,21     kg/min    d'oxygène à une température de 1000 C,  par le tube 45 du brûleur représenté à la     fig.    3. On  admet ensuite de la vapeur de chlorure     ferrique     contenant 3 % en volume de chlore     libre,    à une  température de<B>3500</B> C, par le tube 46 du brûleur  représenté à la     fig.    3.

   Cette vapeur de chlorure fer  rique est produite par chauffage électrique d'une  masse fondue contenant les chlorures     ferrique    et de  sodium. Elle est amenée au tube 46 à un débit de  6,48 kg/min 5 min après le début de l'admission de  vapeur de chlorure ferrique, on interrompt les flux  de gaz et d'air par les passages 70 et 71, après quoi  la réaction de la vapeur de chlorure ferrique avec  l'oxygène se poursuit, la chaleur de réaction suffi  sant pour maintenir une température de 700-750  C  dans la chambre de réaction. Dans ces conditions,       environ    85 % du chlorure ferrique est     converti    en  oxyde ferrique de dimension de particules d'environ  2-3 microns.  



  La     fig.    5 représente très schématiquement un  mode typique de circulation des réactifs et des pro  duits de réaction dans la chambre lorsqu'on opère  conformément aux exemples ci-dessus. L'exemple 3  a été choisi à titre     illustratif.    On voit que les réactifs  sortent de l'ajutage en un puissant courant divergent  et se mélangent aux produits de réaction qui retour  nent dans la zone de réaction, d'où il résulte que les       réactifs    entrants sont rapidement     portés    à la tempé  rature de réaction.  



  Il ressort des exemples ci-dessus, illustrant le  procédé selon l'invention, que     l'évacuation    des pro  duits de réaction gazeux s'effectue par la même  extrémité de la chambre de réaction que     l'admission     des réactifs. Cette disposition produit, ainsi qu'on l'a       décrit,    en association avec     l'énergie    cinétique élevée  des réactifs entrants, le     reflux    désiré des produits de  réaction, et l'entraînement et l'association d'une por  tion notable de ces derniers avec les réactifs     entrants.     Cependant, cette disposition n'est pas essentielle.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Procédé d'oxydation en phase vapeur, dans le quel on fait réagir avec de l'oxygène ou avec un gaz contenant de l'oxygène, une vapeur d'un composé consistant en un chlorure, bromure ou iodure d'un métal ou d'un métalloïde, lequel composé réagit exothermiquement avec un tel gaz, dans une cham bre vide, lesdits réactifs étant admis dans la cham bre en courants adjacents ou étant mélangés ensem- ble préalablement à leur admission, de façon que dans l'un ou l'autre cas les réactifs entrent en direc tion générale commune, procédé caractérisé en ce que l'on admet au moins l'un des réactifs à une vitesse telle que son nombre de Reynolds soit d'au moins 50 000 au point d'injection,
    afin qu'il réen- traîne dans le courant suffisamment de l'atmosphère ambiante, consistant en produits de réaction retour nant à l'opposé de ladite direction générale, pour que la chaleur ainsi empruntée préchauffe les gaz entrants jusqu'à la température de réaction, entrete nant ainsi la réaction sans apport de chaleur auxi liaire. SOUS-REVENDICATIONS 1. Procédé selon la revendication, caractérisé en ce que le nombre de Reynolds de l'un ou des deux réactifs, à leur entrée dans la chambre, est supé rieure à<B><I>150</I></B> 000. 2.
    Procédé selon la revendication, caractérisé en ce que le diamètre ou largeur moyen de la chambre est d'au moins 20 fois le diamètre de l'orifice ou des orifices d'entrée, débitant le réactif ou les réactifs à grande vitesse. 3. Procédé selon la revendication, caractérisé en ce que l'on introduit de la vapeur d'eau en même temps que les réactifs. 4. Procédé selon la revendication d'oxydation du tétrachlorure de titane. 5. Procédé selon la revendication d'oxydation du tétrachlorure de silicium. 6. Procédé selon la revendication d'oxydation du chlorure ferrique.
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